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Intelligence économique
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LAURENT Jean-Marc - OCSIMA | Audit - Conseil - Développement - Formation |
L'Objectif est fixé et les Connaissances sont identifiées, les deux dernières dimensions de la Méthode OCSIMA sont :
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L'Intelligence économique est plus qu'une activité de veille systématique, elle nécessite entre autre d'être intégrée à la culture d'entreprise : partage, évaluation, critique de l'information dont chacun dispose. (Vous trouverz sur notre page Veille et Intelligence économique une description des activités de veille concernant la recherche d'informations.) Voir le dossier Le SI au coeur de la démarche d'intelligence économique :
Les meta-moteurs utilisent les résultats des recherches de différents moteurs. A notre avis, Google présente les réponses les plus pertinentes et de loin les plus riches. Un ensemble d'agents intelligents scrutant le web, analysant les résultats, et présentant des synthéses constitue actuellement l'outil le plus performant. Vous pouvez lire un rapport sur une plateforme Système Multi-Agents, sur notre site Acquisition, Représentation et Recherche de Connaissances, présentant également une approche de la conception et gestion d'un tel sytème.
Un fichier XML d'informations, une feuille de style et on obtient un support de diffusion d'informations. (Voir la page sur le langage XML.) Les 'News' sont diffusées au format RSS, et il existe de nombreux outils de réalisation et de lecture (sur une page WEB, ou sur un PC) de flux RSS.
Voir notre paragraphe Outil dédié à la Recherche / Diffusion d'Informations et notre partenanire Kreactive Technologies qui achemine et gère des flux d'informations pouvant s'intégrer en toute transparence à votre site Web, votre portail Internet, votre Intranet d'entreprise ou encore à votre système d'information.
Tentatives d'OPA, rachats, espionnage, intrusions ou piratages informatiques, dégradations de matériel, vols, sabotages ou campagnes de déstabilisation... Les armes pour attaquer une entreprise ne manquent pas et seraient monnaie courante. Une centaine d'entreprises françaises sont victimes chaque mois de ces "agressions économiques", selon une étude confidentielle des Renseignements généraux (RG), réalisée pour la cellule d'Intelligence économique rattachée au Premier ministre.
La sécurité à l'usage des PME : Un livre blance diffusé par Check Point Software Technologies France
Nous distingons trois protections différentes :
Selon Bernard Besson, membre du comité d'Action Stratégique pour l'intelligence économique, placé sous la responsabilité du ministère de l'Intérieur :
"L'intelligence économique est donc par nature offensive. Ce caractère offensif ne nécessite aucun appel à des méthodes intrusives ou illégales."
La déstabilisation est une arme de la guerre économique. Un exemple ? Seuil présente (2004) le livre de Ali Laïdi et Denis Lanvaux (pseudonyme d'un spécialiste de l'intelligence économique)"Les secrets de la guerre économique" :
"HEC, la plus prestigieuse école de commerce française, monte une opération de déstabilisation de l'Essec, sa principale concurrente ... Ce ne sont là que des exemples de la guerre de l'ombre que se livrent les entreprises"
Le nouvelObs souligne sa sortie "HEC et les barbouzes" (payant),
et publie (août 2005) le dossier Opération volutes - HEC contre Essec,
retraçant "Le scénario délirant".
Voir (mai 2008) L'information, c'est la guerre !,
un exemple entre guerre de l'information et communication d'influence
Lorsque l'on parle de l'Intelligence économique il est impossible d'ignorer le lobbying : il faut au moins fournir aux instances décisionnaires les informations
nécessaires à la compréhension de votre position, pour "influencer si possible les règlementations",
présentées, par exemple, comme un moyen d'augmenter leurs propres connaissances sur le sujet,
sans confondre lobying et corruption.
Une pure imagination de notre part : "J'ai concentré mon offre sur une petite voiture à vocation citadine, peu
polluante ; malheureusement mon marché féminin ciblé est détourné vers les 4x4 présentant luxe et
carrosserie rassurante ; si j'arrive à attirer l'attention des media (et mieux des élus) sur la consommation, et donc la pollution émise, ..."
Ce second rapport de la CCIP
vérifie si les entreprises françaises ont amélioré leurs pratiques de lobbying depuis 2002 à Bruxelles qui compte 15 000 lobbyistes :
"Le constat est mitigé : il y a eu, certes, une prise de conscience des faiblesses françaises et la situation est
plus favorable (sensibilisation accrue, maintien du bon positionnement quantitatif des français au sein des différentes
institutions européennes, meilleur positionnement dans les structures bruxelloises de lobbying, professionnalisme plus
affirmé des acteurs), mais subsistent des difficultés, notamment linguistiques et d'implication des PME.
Par ailleurs, les pratiques des autres pays, voire de pays tiers tels que les Etats-Unis qui n'hésitent pas à se comporter
comme des membres de l'Union européenne, ont parallèlement évolué, et la France accuse ainsi toujours un retard."
Une liste de préconisations est présentée.
Différents articles et dossiers cités par CyberIES :
LAURENT Jean-Marc - Conseil Gestion des Connaissances - OCSIMA Consultant Knowledge Management | |||
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